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10 mars 2019 7 10 /03 /mars /2019 11:11

 

 

                                    POUR LIRE LA SUITE DE CETTE HISTOIRE VRAIE :

 

 

 

                                    http://cacao.over-blog.fr/2019/04/lulu-la-vamp-n-2.html

 

 

 

 

 

          . . . Tiens ! Tiens ! On frappe, entend Cacao ! Qui cela peut-il bien être ?

Pas Prunie L'Aventurière, on m'a dit qu'elle était malade . . . Voyons voir . . .

 

- Par exemple, P.L'.A ! Si je m'attendais...je te croyais malade !

- C'est vrai, mais je ne peux résister au plaisir de venir te raconter ce qui est

arrivé à Lulu La  Vamp pendant qu'elle s'occupait du chat de Langue De Vipère.

 

. . . Langue De Vipère a été obligée d'aller quelques jours chez sa fille. A son

grand regret . . .

Car, d'une part, elle a manqué le repas des Anciens du village, où Jeannot,

comme tu t'en doutes, a encore fait des siennes, mais surtout elle a été

forcée de laisser Félix aux bons soins de Lulu La Vamp.

Comme il est noir et blanc, elle trouve qu'il ressemble au chat des boites,

donc a décidé  de l'appeler Félix…

 

 

 

 

Chaque matin, Lulu La Vamp devait nourrir Félix, le faire sortir, et le soir, 

toujours à la même heure, l'appeler, le faire rentrer, lui ouvrir une délicieuse

boite, avant de l'enfermer pour la nuit. Félix connaît bien Lulu La Vamp, Langue

De Vipère n'était pas inquiète. C'est un chat bien élevé, n'est-ce pas, pas du 

genre à faire des bêtises en son absence . . .

 

 

 

 

. . . Pendant quatre jours, Lulu La Vamp s'acquitta de sa mission sans problème.

Félix l'attendait à la nuit tombante, prêt à déguster son diner, avant de

s'endormir tranquillement sur le canapé de Langue De Vipère.

 

Le cinquième soir Félix tarda à rentrer. Il faisait doux, la liberté lui plaisait.

En plus, Lulu La Vamp partait toujours sans le câliner. Où était donc Langue

De Vipère, se demandait-il . . . 

 

 

 

 

 

. . . Lulu s'égosilla à appeler le chat. Lorsqu'elle fut presque aphone, elle

l'aperçut enfin, qui arrivait, sans se presser. Elle l'enferma promptement,

sans le nourrir, n'est-ce pas . . .punition qu'elle trouvait bien méritée . . .

 

. . . Le lendemain, elle lui ouvrit la porte,  sans lui donner à manger pour plus de

sûreté, ,après lui avoir fait jurer de rentrer à l'heure, sans faute !

En effet, elle aurait fort à faire le soir : ce serait la veille du repas

des Anciens, et sa copine, Gigi La Vamp devait passer lui faire la couleur et

la mise en plis . . .

  

( Sa décision était prise : elle rentrerait Félix en force, lui mettrait deux tonnes

de nourriture et ne le ferait pas sortir LE MATIN DU JOUR  J.

Ainsi, elle n'aurait pas besoin de s'en occuper le soir, et serait donc libre si,

par hasard, au repas des Anciens, quelqu'un lui proposait de finir la soirée

chez lui . . .

. . . Qui le saurait ? Langue De Vipère ne revenait que dans trois jours . . . )

 

. . . A la tombée du jour, elle fut agréablement surprise d'apercevoir Félix près

de la maison. Un peu étonnée aussi qu'il mette aussi longtemps à en franchir le

seuil . .

. . . Pour l'attirer, elle lui montra son écuelle  bien remplie, mais il semblait

hésitant, ou effrayé . . .

Il se décida enfin. Bien aise,  elle ferma la porte à double tour et partit,

soulagée, se faire belle . . . 

 

 

 

 

 

 

. . . Le lendemain, Gigi La Vamp, conductrice émérite, vint la chercher . . .

. . . Et, parce que c'était jour de fête, elles s'arrêtèrent  pour faire monter

ce RASOIR de Jeannot, qu'elles trouvèrent, descendant la route à pied, coiffé

d'une superbe casquette flambant neuve.

Il semblait furieux que son GRAND CON DE GENDRE n'ait pas eu le temps de

le conduire au repas . . .

. . . Soi-disant à cause d'une vague histoire de chien, ou de chat, perdu, qu'elles

n'écoutèrent même pas . . .

 

. . . Le repas fut délicieux, l'animation parfaite, malgré les frasques de Jeannot.

Elles rentrèrent relativement tard, malheureusement ensemble, n'ayant pas fait

de rencontres intéressantes. 

L'année suivante peut-être . . .

Jeannot avait déclaré vouloir rentrer à pied, plus tard, du fait que la soirée

était loin d'être finie, et qu'il n'avait pas pour habitude de se coucher avec

les poules, ( Ni de coucher avec, d'ailleurs, comme il le leur avait précisé, avec  

son " humour " légendaire . . .)

 

. . . De retour, elles restèrent à cancaner dans  le salon de Lulu, un oeil sur la

fenêtre, pour voir à quelle heure il "remonterait" . . .

. . . Et ce fut fort tard. . .Elles durent se relayer pour faire le guet,

s'assoupissant à tour de rôle dans le fauteuil de Lulu. Aux petites lueurs

de l'aube, elles l'aperçurent enfin, qui avançait péniblement sur le chemin,

criant toutes sortes de grossièretés, tellement atroces qu'elles" n'oseraient

jamais" les répéter . . .

. . . Ce qui les étonna, ce fut de le voir tête nue, alors qu'il faisait plutôt

frisquet . . .

 

. . . Quelques heures plus tard, Lulu, le cerveau encore bien embrumé, se força

à aller nourrir et sortir Félix. Elle pensa rêver encore lorsqu'elle vit la porte

de Langue De Vipère grande ouverte . . .

. . . Et Langue de Vipère elle-même, sur le seuil, en pleine crise de nerfs .. .

( On apprit plus tard que cette dernière, s'étant disputée avec sa fille, était

rentrée au village par le premier car. . . )

 

. . . Un peu hébétée, toujours aphone, Lulu essaya de la calmer. . . 

. . . En remerciement, l'enragée se mit à la traiter de noms d'oiseaux . . .

. . . Et à lui donner des coups de pied ! ! !

 

. . . En pleine bataille, arriva Jeannot !

Demandant quel était ce GRAND CON  DE CHAT, noir et blanc, comme sur les

boites.. Qui, en détalant COMME UN LAPIN, avait manqué de le faire tomber. . .

. . . Et qui ressemblait, d'ailleurs, à celui que son GRAND FEIGNANT DE

GENDRE avait perdu . . . 

. . . Auquel, LUI, Jeannot, avait depuis longtemps envie de mettre

UN COUP DE FUSIL  . . .

. . . Pour sa propension à se jeter DANS LES JAMBES DES GENS . . . 

Et du fait, aussi, qu'il était, de toute façon, ENCORE PLUS CON que son

GRAND FEIGNANT DE GENDRE . . .

 

 

. . . Et puis, d'abord, PARLONS PEU, PARLONS BIEN . . .

         

     . . . Est-ce que, 

               

                           PAR HASARD,

 

                                                 QUELQU'UN . . .  AURAIT  . . . 

 

 

 

                                                VU

 

 

                         SA 

 

 

 

                                              CASQUETTE  ?   ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                               POUR LIRE LA SUITE DE CETTE HISTOIRE VRAIE :

 

 

 

                                              http://cacao.over-blog.fr/2019/04/lulu-la-vamp-n-2.html

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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commentaires

C
Bonsoir, <br /> Une belle tranche de vie comme on les aime. Et bravo pour ta nouvelle vie qui arrive.<br /> Bonne soirée<br /> Bises
Répondre
C
Très jolie histoire. Bonne soirée. Bises.
Répondre
C
Jolie histoire comme d'habitude. Bises.
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M
..ben dis donc, quelle histoire et en plus, où est donc cette casquette?<br /> Bisous du jour<br /> Mireille du Sablon
Répondre
C
Ah, oui, drôle d'histoire... On retrouvera peut-être la casquette prochainement...Grosses bises.
E
Une belle histoire bien raconté ma Cacao douce journée à toi bisous
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C
Merci Evy, c'est gentil. Gros bisous.
P
Un véritable régal cette anecdote campagnarde si bien racontée :) Bon dimanche Bisous
Répondre
C
Merci beaucoup Paulette ! Grosses bises et bon après-midi de dimanche.