En ce jour de Pâques, permettez-moi de vous offrir quelques friandises
100 % "CACAO" Bien Sûr !
(Surtout la cloche, ça va de soi . . .)
En ce jour de Pâques, permettez-moi de vous offrir quelques friandises
100 % "CACAO" Bien Sûr !
(Surtout la cloche, ça va de soi . . .)
Je me suis permis, avec son autorisation, de copier-coller
l'article de Josiane, paru ce jour sur son blog " TACHKA "
(Pardon pour le texte en rouge, difficile à lire sur mon fond
de blog. Allez vite sur le sien, vous verrez mieux et pourrez
lire d'autres articles tout aussi importants si l'on respecte les
êtres vivants.)
Relayez l'info S.V.P si vous n'appréciez pas la BARBARIE
de la CORRIDA
ARTICLE DE jOSIANE CE SAMEDI 7 AVRIL 2012
TRES BON TITRE !
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PAS BRAVO !
Ce n'est pas là que j'irais faire refaire mes lunettes
L I B E R T E
Prenez du soleil
Un peu de soleil
Et partez au loin!
Partez dans le vent,
Suivez votre rêve ;
Partez à l'instant,
La jeunesse est brève !
Il est des chemins
Il est des chemins
Si aériens !
Ne regrettez pas
Ce que vous quittez.
Regardez, là-bas,
L'horizon briller.
Maurice Carême.
La tradition d’offrir des oeufs décorés, teints ou travaillés est bien antérieure au christianisme. L’oeuf est sans doute le plus vieux et le plus universel symbôle de vie et de renaissance notamment et de multiples rituels lui ont été associés depuis la nuit des temps. |
Pour certains, la coutume des oeufs de Pâques se rattacherait à l'établissement du Carême. Dès le IVème siècle, l'usage des oeufs pendant la pénitence de quarante jours est interdit par l'Eglise. Une grande quantité d'oeufs se trouvant entassée dans les provisions de ménage, le moyen le plus expéditif de s'en débarrasser était de les donner aux enfants.
Dès le jeudi saint, les enfants en commençaient la collecte. Ils allaient en bande, précédés des enfants de choeur et ramassaient dans des corbeilles les oeufs qu'on leur donnait.
Dans le Béarn, cette quête se faisait la veille de Pâques, appelée alors " le samedi des oeufs ".
Et le jour de Pâques, tous ces oeufs étaient dégustés en omelette.
Dès le XIIème siècle, dans de nombreux pays européens, les gens du peuple avaient l'habitude de s'échanger des oeufs tout simples, bénis à l'église, une coutume que les nobles vont vite adopter, mais en s'adressant à des peintres, des orfèvres et des graveurs pour se faire faire des oeufs-joyaux, c'est à dire décorés de peintures délicates, d'émaux ou de pierres précieuses.
Quant à la surprise contenue dans l'oeuf, c'est une tradition qui remonte au XVIème siècle, et certaines sont même passées à l'histoire tant elles étaient exceptionnelles : c'est le cas de la statuette de Cupidon renfermée dans un énorme oeuf de Pâques offert par Louis XV à Madame du Barry, du brûle-parfum trouvé en 1770 par Catherine II ou encore de la minuscule poulette cachée dans un précieux oeuf conservé à Copenhague dans les collections royales du château de Rosemborg.
La coutume des oeufs de Pâques n'est certifiée qu'au cours du XVIème siècle à la cour des rois de France.
Louis XIV faisait bénir solennellement le jour de Pâques de grandes corbeilles d'oeufs dorés qu'ilr emettait en cérémonie à ses proches ; Madame Victoire,fille du roi Louis XV, avait même reçu deux oeufs de Pâques peints et historiés par Lancret et Watteau..... L'on pourrait citer d'autres exemples royaux d'oeufs de Pâques célèbres.....
Au XVIIème et XVIIIème siècles jusqu'à la révolution qui y mit un terme, " l'oeuf " était l'apanage de la cour et de la noblesse. L'oeuf le plus gros du royaume, pondu pendant la Semaine Sainte, revenait de droit au roi.
On peut distinguer les oeufs teints que l'on consomme, des oeufs décorés que l'on conserve et que l'on offre à sa famille, à ses amis en témoignage d'amour et d'amitié.
Et c'est au XVIIIe siècle, en France, qu'on décida de vider un oeuf frais et de le remplir de chocolat.
L'oeuf de Pâques est le symbole de l'éclosion d'une vie nouvelle et de la fertilité.
Pâques est connue comme une fête religieuse, la plus importante de la religion catholique, puisqu’elle commémore la résurrection de Jésus Christ. Pourtant, on retrouve dans de nombreuses civilisations les vestiges de célébrations populaires à la même époque, jusqu'en Perse, plus de 3000 ans avant notre ère. Sans doute parce que Pâques correspond aussi à l’arrivée du printemps, saison reliée par beaucoup de cultures au renouveau, à la fécondité et aux réjouissances.
Aujourd’hui, à l’image de Noël, Pâques est devenue une grande célébration populaire, synonyme de vacances et de réjouissances. Pour les plus jeunes, c’est le moment tant attendu des œufs en chocolat, que les cloches laissent dans les jardins. Mais d’où vient cette croyance ?
Les cloches de Pâques - Dans la tradition chrétienne, les cloches des églises doivent rester muettes pendant trois jours, à partir du vendredi de Pâques, en signe de deuil. Dans la tradition populaire, on explique donc aux enfants que si les cloches sont muettes, c’est qu’elles sont parties à Rome. Un voyage dont elles reviennent heureusement chargées de cadeaux : des chocolats en forme d’œufs, qu’elles sèment dans les jardins.
La petite histoire: En Italie, on allait jusqu’à attacher les cloches pour les empêcher de sonner.
Les œufs de Pâques – Comme dans de nombreuses civilisations, l’œuf est un symbole de naissance, de renouveau. Par extension, poules, poussins et même lapins (réputés pour leur fécondité) sont devenus les symboles de Pâques. La tradition d’offrir des œufs remontent à très loin, peut-être même aux civilisations de l’Antiquité. En Europe, on offrait de vrais œufs, qui étaient peints et décorés.
La petite histoire: Au XVIIe siècle, le Roi Soleil Louis XIV faisait ramasser les plus beaux œufs pondus dans le royaume. Décorés de feuilles dorées, il les offrait à ses courtisans et aux gens de sa cour.
"C’est quand Pâques ?" - Cette question, que les enfants posent souvent, n’a pas vraiment de réponse ! En effet, le dimanche de Pâques étant choisi selon le calendrier lunaire, il change tous les ans. Pour simplifier, l’Eglise a décidé en l’an 325 que Pâques serait célébré le dimanche après la première lune suivant l'équinoxe de printemps le 21 mars. Il existe aussi de nombreuses théories mathématiques, très compliquées, pour calculer la date exacte. Le mieux reste encore d’observer les cloches dans le ciel…
Le saviez-vous ?
L’île de Pâques et ses mystérieuses statues, perdue dans le Pacifique tient son nom du jour où le navigateur hollandais Jakob Roggeveen y accosta pour la première fois, le dimanche de Pâques 1722.
LE TENDRE ET DANGEREUX VISAGE DE L'AMOUR
Le tendre et dangereux
visage de l'amour
m'est apparu un soir
après un trop long jour
C'était peut-être un archer
avec son arc
ou bien un musicien
avec sa harpe
Je ne sais plus
Je ne sais rien
Tout ce que je sais
c'est qu'il m'a blessée
peut-être avec une flèche
peut-être avec une chanson
Tout ce que je sais
c'est qu'il m'a blessée
blessée au coeur
et pour toujours
Brûlante trop brûlante
blessure de l'amour.
Jacques Prévert
En ce moment, faute de temps et d'inspiration, je fais très peu de
création. Alors je vous offre des poèmes qui me plaisent. . .
Impression de printemps
Il est des jours - avez-vous remarqué ? -
Où l'on se sent plus léger qu'un oiseau,
Plus jeune qu'un enfant, et, vrai ! plus gai
Que la même gaieté d'un damoiseau.
L'on se souvient sans bien se rappeler...
Évidemment l'on rêve, et non, pourtant.
L'on semble nager et l'on croirait voler.
L'on aime ardemment sans amour cependant
Tant est léger le coeur sous le ciel clair
Et tant l'on va, sûr de soi, plein de foi
Dans les autres, que l'on trompe avec l'air
D'être plutôt trompé gentiment, soi.
La vie est bonne et l'on voudrait mourir,
Bien que n'ayant pas peur du lendemain,
Un désir indécis s'en vient fleurir,
Dirait-on, au coeur plus et moins qu'humain.
Hélas ! faut-il que meure ce bonheur ?
Meurent plutôt la vie et son tourment !
Ô dieux cléments, gardez-moi du malheur
D'à jamais perdre un moment si charmant.
Paul Verlaine ( 1844-1896 )
Pour le défi d'Evy link
Elle avait attendu jusqu'au soir
Au bord de ce lac
Jusqu'aux premiers reflets du couchant
Sa robe rose devenait dorée
Aux rayons du dernier soleil
Sa coiffure était encore parfaite
Car elle était restée immobile.
Lorsque le cygne apparut
Et qu'il vint vers elle
Elle y vit comme un message
Une petite lueur d'espoir
Alors elle décida d'attendre encore
Jusqu'à la nuit noire.
Cacao.
Que ce soit un poisson scotché dans le dos ou une blague bien plus recherchée et préparée, tout le monde a déjà participé à une farce le 1er Avril. Mais combien d’entre vous connaissent l’origine du poisson et pourquoi cette date ?
Pour la date, c’est plutôt simple. Jusqu’en 1564, l’année civile française commençait le premier jour d’Avril, fin Mars ou début janvier en fonction de la région dans laquelle on habitait. Suite à plusieurs voyages dans différentes régions de France, notre bon roi Charles IX (de quelle dynastie était-il ?) décida en cet an de grâce 1564 de fixer officiellement le début de l’année civile à la date que nous connaissons aujourd’hui: le 1er Janvier. Il rédigea un acte nommé Edit de Roussillon pour officialiser cette modification, le 9 août 1564.
Malheureusement, les français étaient déjà réfractaires au changement à l’époque et dans beaucoup de régions les habitants continuèrent à s’offrir ce que l’on appellerait aujourd’hui des étrennes. Le 1er Avril étant proche de la fin du carême, le poisson était le cadeau offert le plus souvent. Les autres habitants de la région, moins réfractaires, se moquaient ouvertement des gens qui fêtaient toujours le début de l’année au mois d’Avril, leur offraient de faux cadeaux et faisaient des farces.
Cette tradition d’origine française a été reprise par plusieurs pays d’Europe occidentale mais aussi en Asie et en Amérique du Nord.
Le papillon
Naître avec le printemps, mourir avec les roses,
Sur l'aile du zéphyr nager dans un ciel pur,
Balancé sur le sein des fleurs à peine écloses,
S'enivrer de parfums, de lumière et d'azur,
Secouant, jeune encor, la poudre de ses ailes,
S'envoler comme un souffle aux voûtes éternelles,
Voilà du papillon le destin enchanté!
Il ressemble au désir, qui jamais ne se pose,
Et sans se satisfaire, effleurant toute chose,
Retourne enfin au ciel chercher la volupté!
Alphonse de LAMARTINE (1790-1869)